23/09/2008, 15:55:08
> C'est effectivement dommage, mais cela ne m'étonne pas trop que les
> fabricants ne veuillent pas créer de base de données au format XML.
> Je me demande ce qu'il y a dans ces bases de données...
Ca, c'est assez facile à deviner :
Pour les modules EIB "simples".
-----------------------------------------------
- le code objet de/des l'application(s) destinée(s) au module.
- un applet windows s'intégrant dans ETS pour la configuration des
différents paramètres de(s) l'application(s).
- un tableau expliquant à ETS quels bytes il doit modifier dans le
code objet de chaque application pour l'adapter selon les paramètres
choisis par le configurateur via l'applet citée ci-avant.
- une "carte de la mémoire" du module pour expliquer à ETS comment et
où programmer le code de l'application, les adresses de groupe, les
communication flags, ... dans le module.
- les différents codes "ID fabricant", "ID application", "ID modèle du
module", etc. pour permettre à ETS de vérifier que le hardware qu'il
va programmer convient pour l'application choisie.
- diverses infos permettant le classement cette / ces application(s)
dans la base de données générale de ETS.
Pour les modules EIB "complexes".
---------------------------------------------------
En gros, la même chose que pour les modules simples, sauf que l'applet
est remplacé par un plug-in plus complet qui possède sa propre
interface graphique de configuration ainsi que, généralement, une
routine autonome de programmation du module EIB complexe, qui "discute
en direct" avec le module plutôt que laisser ETS faire la
programmation. C'est nécessaire car le processeur au cœur des ces
modules complexes n'a généralement rien à voir avec les cœurs de BCU1
et BCU2.
Pour les modules simples, en théorie, un "sniffer" sur le bus EIB et
un travail de Bénédictin devrait permettre de retrouver toutes les
informations nécessaires à la réalisations de "base de données" pour
Basys2003, mais ... on manque de Bénédictins bénévoles, disponibles et
maitrisant bien le sujet. ;-)
Pour les modules complexes, c'est totalement à la discrétion des
fabricants ... jusqu'au jour où l'OS de ces modules complexes sera un
petit Linux et alors ... 8-))
> fabricants ne veuillent pas créer de base de données au format XML.
> Je me demande ce qu'il y a dans ces bases de données...
Ca, c'est assez facile à deviner :
Pour les modules EIB "simples".
-----------------------------------------------
- le code objet de/des l'application(s) destinée(s) au module.
- un applet windows s'intégrant dans ETS pour la configuration des
différents paramètres de(s) l'application(s).
- un tableau expliquant à ETS quels bytes il doit modifier dans le
code objet de chaque application pour l'adapter selon les paramètres
choisis par le configurateur via l'applet citée ci-avant.
- une "carte de la mémoire" du module pour expliquer à ETS comment et
où programmer le code de l'application, les adresses de groupe, les
communication flags, ... dans le module.
- les différents codes "ID fabricant", "ID application", "ID modèle du
module", etc. pour permettre à ETS de vérifier que le hardware qu'il
va programmer convient pour l'application choisie.
- diverses infos permettant le classement cette / ces application(s)
dans la base de données générale de ETS.
Pour les modules EIB "complexes".
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En gros, la même chose que pour les modules simples, sauf que l'applet
est remplacé par un plug-in plus complet qui possède sa propre
interface graphique de configuration ainsi que, généralement, une
routine autonome de programmation du module EIB complexe, qui "discute
en direct" avec le module plutôt que laisser ETS faire la
programmation. C'est nécessaire car le processeur au cœur des ces
modules complexes n'a généralement rien à voir avec les cœurs de BCU1
et BCU2.
Pour les modules simples, en théorie, un "sniffer" sur le bus EIB et
un travail de Bénédictin devrait permettre de retrouver toutes les
informations nécessaires à la réalisations de "base de données" pour
Basys2003, mais ... on manque de Bénédictins bénévoles, disponibles et
maitrisant bien le sujet. ;-)
Pour les modules complexes, c'est totalement à la discrétion des
fabricants ... jusqu'au jour où l'OS de ces modules complexes sera un
petit Linux et alors ... 8-))