03/04/2012, 11:32:37
Comment ça, pas chaleur dégagée (au passage, le °C n'est pas une unité de chaleur ) ? Ce sont des grosses leds de puissance, ou des petites leds blanches ?
À niveau d'éclairement équivalent, la chaleur dégagée n'est pas aussi importante qu'en halogène, mais quand même. Le truc, c'est qu'on ne se brûle effectivement pas car il y a de gros dissipateurs. C'est obligé, car la jonction ne peut pas dépasser 120°C. Alors que l'halogène peut monter bien plus haut sans problème. Mais il y a bien une dissipation de chaleur non négligeable (80% de l'énergie totale consommée).
Dans le cas où il ne faut pas de point chaud, c'est effectivement intéressant. Pour de l'usage normal, je suis de moins en moins convaincu (je suis pourtant un grand partisant,, j'ai fait plein de tests car je pensais partir uniquement sur ce mode d'éclairage). L'énergie grise bouffée pour la production de ces bidules reste trop importante aujourd'hui. Sans parler des durées de vie qui ne seront jamais atteinte, vu les conditions de mise en oeuvre - en particulier avec les variateurs, qui font fonctionner les électroniques loin de leur rendement optimal.
Et je ne parle même pas du prix d'achat !!!
J'aimerais déjà que les constructeurs proposent des ampoules¹ à leds sans électronique, histoire qu'on puisse mutualiser celle-ci, et en mettre une plus performante et vraiment gradable dans de bonnes conditions. Ce serait déjà un gros pas en avant.
Je pense que je serai amené à refaire mon câblage d'ici quelques années, pour pouvoir basculer sur ce mode d'éclairage.. Va aussi falloir que la norme évolue : qu'on ne soit pas limité à 8 points par circuit, ou obligé de tirer du 1,5mm² là ou du 0,5mm² suffit... En gros, que la norme arrête de nous obliger à sur-équiper les logements.
¹ quand je dis ampoule, c'est une ou plusieurs leds de puissance avec son dissipateur, qui puisse se monter mécaniquement dans les luminaires existants (spot M50, applique, etc...). On trouve les leds brutes, mais c'est chiant à intégrer.
À niveau d'éclairement équivalent, la chaleur dégagée n'est pas aussi importante qu'en halogène, mais quand même. Le truc, c'est qu'on ne se brûle effectivement pas car il y a de gros dissipateurs. C'est obligé, car la jonction ne peut pas dépasser 120°C. Alors que l'halogène peut monter bien plus haut sans problème. Mais il y a bien une dissipation de chaleur non négligeable (80% de l'énergie totale consommée).
Dans le cas où il ne faut pas de point chaud, c'est effectivement intéressant. Pour de l'usage normal, je suis de moins en moins convaincu (je suis pourtant un grand partisant,, j'ai fait plein de tests car je pensais partir uniquement sur ce mode d'éclairage). L'énergie grise bouffée pour la production de ces bidules reste trop importante aujourd'hui. Sans parler des durées de vie qui ne seront jamais atteinte, vu les conditions de mise en oeuvre - en particulier avec les variateurs, qui font fonctionner les électroniques loin de leur rendement optimal.
Et je ne parle même pas du prix d'achat !!!
J'aimerais déjà que les constructeurs proposent des ampoules¹ à leds sans électronique, histoire qu'on puisse mutualiser celle-ci, et en mettre une plus performante et vraiment gradable dans de bonnes conditions. Ce serait déjà un gros pas en avant.
Je pense que je serai amené à refaire mon câblage d'ici quelques années, pour pouvoir basculer sur ce mode d'éclairage.. Va aussi falloir que la norme évolue : qu'on ne soit pas limité à 8 points par circuit, ou obligé de tirer du 1,5mm² là ou du 0,5mm² suffit... En gros, que la norme arrête de nous obliger à sur-équiper les logements.
¹ quand je dis ampoule, c'est une ou plusieurs leds de puissance avec son dissipateur, qui puisse se monter mécaniquement dans les luminaires existants (spot M50, applique, etc...). On trouve les leds brutes, mais c'est chiant à intégrer.