03/09/2007, 09:23:43
Je suis d'accord avec toi pour ce "grand" cahier des charges.
Cela permettra de développer confortablement.
Allez au boulot!
On 31 août, 17:36, keldo <kelderm...@ibelgique.com> wrote:
> On 30 août, 21:04, "stephane.herr...@gmail.com"
>
> <stephane.herr...@gmail.com> wrote:
> > Au fait, on part sur les BIM M13x ou les TP-UART finalement ???? moi
> > je penche pour les BIM pour un début.
>
> Point de vue prix (opternus) :
> - BIM avec stack ver. 2.x = environ 40 euros
> - TP-UART avec composants annexes = environ 15 euros
>
> Mais, si on se lance dans la fabrication d'une dizaine de platines
> d'eesai, pourquoi ne pas prévoir les deux interfaces directement ?
> Il suffit de prévoir les pistes pour le TP-UART (+ quelques composants
> discrets) ET le connecteur pour la prise PEI du BCU/BIM, après, on
> peut toujours décider de ne pas souder les composants pour l'un ou
> l'autre, ça ne devrait quasi rien changer au prix de la platine. Il
> suffirait de prévoir les pistes depuis les pins TX, RX et GND du PIC
> pour les deux cas, éventuellement avec des jumpers pour choisir l'une
> ou l'autre interface.
>
> Pour le TP-UART, il faut compter une puce SOIC-20 pattes et une
> quinzaine de composants classiques ou SMD (diodes, résistances, petits
> condensateurs, un crystal) + les 2 pinoches pour la borne de bus EIB.
> Le schema quasi complet est disponible dans la datasheet du TP-UART
> (en mode "normal").
> Entre le PIC et le TP-UART il faut compter minimum 4 liens (TX, RX,
> GND et Reset) et maximum 7 liens (TX,RX, Reset, 5V, GND, Save,
> Temperature Warning).
>
> Pour le coté BCU/BIM, il faut TX, RX et GND vers le PIC mais il faut
> aussi prévoir une résistance de haute précision (voir même plusieurs
> en série si la valeur exacte n'existe pas) pour connecter les pins 5V
> et PEI-Type du BCU/BIM.
>
> Cela va compliquer un petit peu le schema mais ajouter une isolation
> optique entre le PIC et le BCU/BIM ou le TP-UART peut être une bonne
> idée. Dans ce cas il faut prévoir une alim externe pour le PIC.
> (La ligne Reset du TP-UART étant bidirectionelle, actif = 0 Volts, il
> faut sans doute deux pins du PIC et 2 optocoupleurs pour cette ligne
> si elle est protégée).
> Si on décide de se passer de l'isolation optique, on peut peut-être
> alimenter le PIC depuis le TP-UART ou le BCU/BIM mais il faudrait
> calculer la consommation du PIC et des éventuels accessoires ; au
> total, pour une platine d'expérimentation, ce n'est sans doute pas une
> bonne idée.
>
> - - - - -
>
> Admettons que l'on mette les optocoupleurs et une alim externe, je
> propose alors de mettre une entrée pour une alim de 12V DC et
> d'ajouter sur la platine la place pour les composants (style LM7805)
> afin de prévoir une sortie 5V DC et une sortie 3,3V DC.
>
> Une grande partie des PIC haut de gamme (je n'aime pas écrire PIC
> 16bits, cela porte à confusion avec les PIC "16F" - pour le "16" - et
> les PIC 18F - qui codent leurs instructions sur 16 bits - alors que
> les PIC "16bits" codent leurs instructions sur 24 bits ...) ont plus
> d'un UART, ce serait sympa de prévoir aussi sur la platine de test une
> prise RS-232 (avec MAX232 ou optocoupleurs) vers le second UART afin
> de brancher notre petit montage en direct sur un PC, cela peut se
> réveler très pratique pour le débugage et pour utiliser un bootloader.
>
> Bien sur, ne pas oublier d'ajouter les pistes pour une led et un
> microswitch avec le condo et la résistance d'anti-rebond (= led et
> bouton de programmation de l'adresse physique sur un BCU).
>
> Autre idée : ajouter un connecteur pour ICD2 ou prévoir des points de
> connection équivalents pour les 5 signaux nécessaires serait
> certainement judicieux, toujours pour la programmation et le
> débuggage.
>
> Enfin, selon la façon dont est facturé la fabrication de petites
> series de platine (sans doute un forfait pour une taille maximum
> donnée), il est peut être judicieux de remplir "l'espace vide" de la
> platine avec :
> - l'emplacement pour une petite puce I²C ou SPI (et sa piste "Chip
> Select") pour ajouter l'eeprom qu'il n'y a plus dans les PIC haut de
> gamme.
> - l'emplacement pour un connecteur (ou plusieurs) pour cable plat,
> permettant de relier les ports I/O du PIC avec d'autres cartes
> contenant des périphériques (un module relais, dimmers, capteurs de
> températures, etc.).
> - l'emplacement pour quelques puces SOIC (14, 18, 20 ou 28 pattes) si
> l'on désire ajouter l'un ou l'autre périphérique en SMD.
> - des bandes latérales pré-trouées avec les signaux GND, 3.3V, 5V,
> SPI, I²C, etc.
> - une grille de trous métalisés.
>
> Voila, j'ai donné mes idées en vitesse mais c'est à discuter.
> Si il y a de la place pour ajouter quelques composants "perso" sur la
> platine et que le prix reste dans la gamme d'une dizaine d'euros, je
> suis intéressé par 5 ou 6 pièces.
>
> De mon coté, je continue doucement à écrire mon assembleur pour le
> 877A mais j'écris de toute façon d'abord du pseudo code en français et
> je le laisse en commentaire dans mon code source, donc :
> 1) c'est un bon exercice pour apprendre les PIC16 - j'ai d'autres
> projets en tête pour eux de toute manière.
> 2) avec le pseudo code en français, j'aurai fait le plus gros du
> travail d'analyse, ce sera alors facile de porter tout cela en C (ou
> Pascal) quand je passerai sur PIC haut de gamme, ce qui arrivera de
> toute façon bientôt car mon projet principal en EIB (gestion de
> chaudière évoluée + paneaux solaires en appoint) va sans doute occuper
> trop de place en mémoire et l'application serait bien plus facile avec
> la gestion de la multiplication sur des réels en hardware ...
>
> D'un autre coté, j'ai un très bon cours sur les PIC16 (et 18) mais
> rien sur les PIC haut de gamme, je devrai sans doute tatoner un peu
> plus au début sur un PIC24.
Cela permettra de développer confortablement.
Allez au boulot!
On 31 août, 17:36, keldo <kelderm...@ibelgique.com> wrote:
> On 30 août, 21:04, "stephane.herr...@gmail.com"
>
> <stephane.herr...@gmail.com> wrote:
> > Au fait, on part sur les BIM M13x ou les TP-UART finalement ???? moi
> > je penche pour les BIM pour un début.
>
> Point de vue prix (opternus) :
> - BIM avec stack ver. 2.x = environ 40 euros
> - TP-UART avec composants annexes = environ 15 euros
>
> Mais, si on se lance dans la fabrication d'une dizaine de platines
> d'eesai, pourquoi ne pas prévoir les deux interfaces directement ?
> Il suffit de prévoir les pistes pour le TP-UART (+ quelques composants
> discrets) ET le connecteur pour la prise PEI du BCU/BIM, après, on
> peut toujours décider de ne pas souder les composants pour l'un ou
> l'autre, ça ne devrait quasi rien changer au prix de la platine. Il
> suffirait de prévoir les pistes depuis les pins TX, RX et GND du PIC
> pour les deux cas, éventuellement avec des jumpers pour choisir l'une
> ou l'autre interface.
>
> Pour le TP-UART, il faut compter une puce SOIC-20 pattes et une
> quinzaine de composants classiques ou SMD (diodes, résistances, petits
> condensateurs, un crystal) + les 2 pinoches pour la borne de bus EIB.
> Le schema quasi complet est disponible dans la datasheet du TP-UART
> (en mode "normal").
> Entre le PIC et le TP-UART il faut compter minimum 4 liens (TX, RX,
> GND et Reset) et maximum 7 liens (TX,RX, Reset, 5V, GND, Save,
> Temperature Warning).
>
> Pour le coté BCU/BIM, il faut TX, RX et GND vers le PIC mais il faut
> aussi prévoir une résistance de haute précision (voir même plusieurs
> en série si la valeur exacte n'existe pas) pour connecter les pins 5V
> et PEI-Type du BCU/BIM.
>
> Cela va compliquer un petit peu le schema mais ajouter une isolation
> optique entre le PIC et le BCU/BIM ou le TP-UART peut être une bonne
> idée. Dans ce cas il faut prévoir une alim externe pour le PIC.
> (La ligne Reset du TP-UART étant bidirectionelle, actif = 0 Volts, il
> faut sans doute deux pins du PIC et 2 optocoupleurs pour cette ligne
> si elle est protégée).
> Si on décide de se passer de l'isolation optique, on peut peut-être
> alimenter le PIC depuis le TP-UART ou le BCU/BIM mais il faudrait
> calculer la consommation du PIC et des éventuels accessoires ; au
> total, pour une platine d'expérimentation, ce n'est sans doute pas une
> bonne idée.
>
> - - - - -
>
> Admettons que l'on mette les optocoupleurs et une alim externe, je
> propose alors de mettre une entrée pour une alim de 12V DC et
> d'ajouter sur la platine la place pour les composants (style LM7805)
> afin de prévoir une sortie 5V DC et une sortie 3,3V DC.
>
> Une grande partie des PIC haut de gamme (je n'aime pas écrire PIC
> 16bits, cela porte à confusion avec les PIC "16F" - pour le "16" - et
> les PIC 18F - qui codent leurs instructions sur 16 bits - alors que
> les PIC "16bits" codent leurs instructions sur 24 bits ...) ont plus
> d'un UART, ce serait sympa de prévoir aussi sur la platine de test une
> prise RS-232 (avec MAX232 ou optocoupleurs) vers le second UART afin
> de brancher notre petit montage en direct sur un PC, cela peut se
> réveler très pratique pour le débugage et pour utiliser un bootloader.
>
> Bien sur, ne pas oublier d'ajouter les pistes pour une led et un
> microswitch avec le condo et la résistance d'anti-rebond (= led et
> bouton de programmation de l'adresse physique sur un BCU).
>
> Autre idée : ajouter un connecteur pour ICD2 ou prévoir des points de
> connection équivalents pour les 5 signaux nécessaires serait
> certainement judicieux, toujours pour la programmation et le
> débuggage.
>
> Enfin, selon la façon dont est facturé la fabrication de petites
> series de platine (sans doute un forfait pour une taille maximum
> donnée), il est peut être judicieux de remplir "l'espace vide" de la
> platine avec :
> - l'emplacement pour une petite puce I²C ou SPI (et sa piste "Chip
> Select") pour ajouter l'eeprom qu'il n'y a plus dans les PIC haut de
> gamme.
> - l'emplacement pour un connecteur (ou plusieurs) pour cable plat,
> permettant de relier les ports I/O du PIC avec d'autres cartes
> contenant des périphériques (un module relais, dimmers, capteurs de
> températures, etc.).
> - l'emplacement pour quelques puces SOIC (14, 18, 20 ou 28 pattes) si
> l'on désire ajouter l'un ou l'autre périphérique en SMD.
> - des bandes latérales pré-trouées avec les signaux GND, 3.3V, 5V,
> SPI, I²C, etc.
> - une grille de trous métalisés.
>
> Voila, j'ai donné mes idées en vitesse mais c'est à discuter.
> Si il y a de la place pour ajouter quelques composants "perso" sur la
> platine et que le prix reste dans la gamme d'une dizaine d'euros, je
> suis intéressé par 5 ou 6 pièces.
>
> De mon coté, je continue doucement à écrire mon assembleur pour le
> 877A mais j'écris de toute façon d'abord du pseudo code en français et
> je le laisse en commentaire dans mon code source, donc :
> 1) c'est un bon exercice pour apprendre les PIC16 - j'ai d'autres
> projets en tête pour eux de toute manière.
> 2) avec le pseudo code en français, j'aurai fait le plus gros du
> travail d'analyse, ce sera alors facile de porter tout cela en C (ou
> Pascal) quand je passerai sur PIC haut de gamme, ce qui arrivera de
> toute façon bientôt car mon projet principal en EIB (gestion de
> chaudière évoluée + paneaux solaires en appoint) va sans doute occuper
> trop de place en mémoire et l'application serait bien plus facile avec
> la gestion de la multiplication sur des réels en hardware ...
>
> D'un autre coté, j'ai un très bon cours sur les PIC16 (et 18) mais
> rien sur les PIC haut de gamme, je devrai sans doute tatoner un peu
> plus au début sur un PIC24.