04/10/2016, 14:48:57
Salut
J'aimerais bien savoir quelle sont les motivations qui ont conduit à prévoir de telles prescriptions dans la norme NF C 15-100.
Certes il y a des motivations de sécurité (risque de surcharge d'un circuit), dont certaines sont des évidences (protéger un circuit contre des intensités supérieures à celles qu'il peut supporter, i.e. rapport entre calibre de disjoncteur et section de cuivre) et d'autres des compromis statistiques (pas plus de 5 PC sur un circuit 16A / 1,5 mm² ou séparation des circuits d'éclairage qui ont moins de chance d'être surchargés que la prise bouilloire + grille-pain + raclette + convecteur de la cuisine, évitant ainsi que tout le monde se retrouve dans le noir et se renverse la fondue brulante sur les genoux).
Mais sinon, je ne serais pas surpris si on me disait que certaines prescriptions sont de pures prescriptions de confort ou de "fonctionnalité", comme par exemple le fait de limiter à 2, et dans la même pièce, le nombre de prises commandées par un même interrupteur. Quand je parle de "fonctionnalité", je parle du fait que dans une grande majorité des cas, le futur occupant d'un logement ne participe pas à la définition des fonctionnalités souhaitées : soit il achète une fois que c'est décidé (ou réalisé), soit il s'en fiche. Dans ce cas, il n'est pas idiot qu'une norme définisse des cas d'usage un peu standard qui conviendront à tout un chacun. Par exemple avoir un interrupteur qui commande 4 prises, dont 2 sont au salon, 1 à la buanderie et 1 sur le plan de travail de la cuisine correspondrait à un usage un peu bizarre... et je bien comprends qu'on interdise a priori à un électricien de faire ça, juste pour faire original.
De là à interdire à quiconque de le faire chez lui en invoquant la sécurité, ça me dépasse un peu...
On pourrait imaginer que cela ne soit exigé qu'au moment de la vente... Or ce n'est matériellement pas vérifié... ceci expliquant peut-être cela...
J'aimerais bien savoir quelle sont les motivations qui ont conduit à prévoir de telles prescriptions dans la norme NF C 15-100.
Certes il y a des motivations de sécurité (risque de surcharge d'un circuit), dont certaines sont des évidences (protéger un circuit contre des intensités supérieures à celles qu'il peut supporter, i.e. rapport entre calibre de disjoncteur et section de cuivre) et d'autres des compromis statistiques (pas plus de 5 PC sur un circuit 16A / 1,5 mm² ou séparation des circuits d'éclairage qui ont moins de chance d'être surchargés que la prise bouilloire + grille-pain + raclette + convecteur de la cuisine, évitant ainsi que tout le monde se retrouve dans le noir et se renverse la fondue brulante sur les genoux).
Mais sinon, je ne serais pas surpris si on me disait que certaines prescriptions sont de pures prescriptions de confort ou de "fonctionnalité", comme par exemple le fait de limiter à 2, et dans la même pièce, le nombre de prises commandées par un même interrupteur. Quand je parle de "fonctionnalité", je parle du fait que dans une grande majorité des cas, le futur occupant d'un logement ne participe pas à la définition des fonctionnalités souhaitées : soit il achète une fois que c'est décidé (ou réalisé), soit il s'en fiche. Dans ce cas, il n'est pas idiot qu'une norme définisse des cas d'usage un peu standard qui conviendront à tout un chacun. Par exemple avoir un interrupteur qui commande 4 prises, dont 2 sont au salon, 1 à la buanderie et 1 sur le plan de travail de la cuisine correspondrait à un usage un peu bizarre... et je bien comprends qu'on interdise a priori à un électricien de faire ça, juste pour faire original.
De là à interdire à quiconque de le faire chez lui en invoquant la sécurité, ça me dépasse un peu...
On pourrait imaginer que cela ne soit exigé qu'au moment de la vente... Or ce n'est matériellement pas vérifié... ceci expliquant peut-être cela...