22/08/2017, 09:08:02
L'un des gros avantage du KNX est le fait que "l'intelligence" est répartie voire même distribuée entre les différents composants du réseau. De cette manière, il n'y a pas un composant susceptible de bloquer l'intégralité du système ce qui est un gage de pérennité.
L'utilisation d'un superviseur est souvent impérative pour mettre en place des fonctions qui n'existent pas en natif sur les actionneurs KNX mais le plus souvent ce superviseur est utilisé pour permettre d'avoir une vue globale du système sans avoir à se déplacer dans toutes les pièces d'un bâtiment.
Aussi confier des tâches élémentaires et essentielles (VR, chauffage, clim, .....) à un superviseur est à mon avis une hérésie car en cas de panne de ce superviseur on se retrouve avec un système qui ne fonctionne plus ce qui va à l'encontre de la philosophie KNX.
Perso dans un soucis de fiabilité, je préfère avoir des actionneurs plus évolués (donc d'un coût plus important) qui se chargeront de faire le job et un superviseur un peu moins pointu (donc d'un coût nettement moindre) qui n'aura en charge que la recopie de fonctions et éventuellement de quelques règles logiques non essentielles impossibles à intégrer dans les actionneurs KNX.
De cette manière, si mon superviseur est en panne ou en maintenance, mon bâtiment est opérationnel à 98 ou 99% et il n'y a aucune urgence à remettre en route le superviseur.
L'utilisation d'un superviseur est souvent impérative pour mettre en place des fonctions qui n'existent pas en natif sur les actionneurs KNX mais le plus souvent ce superviseur est utilisé pour permettre d'avoir une vue globale du système sans avoir à se déplacer dans toutes les pièces d'un bâtiment.
Aussi confier des tâches élémentaires et essentielles (VR, chauffage, clim, .....) à un superviseur est à mon avis une hérésie car en cas de panne de ce superviseur on se retrouve avec un système qui ne fonctionne plus ce qui va à l'encontre de la philosophie KNX.
Perso dans un soucis de fiabilité, je préfère avoir des actionneurs plus évolués (donc d'un coût plus important) qui se chargeront de faire le job et un superviseur un peu moins pointu (donc d'un coût nettement moindre) qui n'aura en charge que la recopie de fonctions et éventuellement de quelques règles logiques non essentielles impossibles à intégrer dans les actionneurs KNX.
De cette manière, si mon superviseur est en panne ou en maintenance, mon bâtiment est opérationnel à 98 ou 99% et il n'y a aucune urgence à remettre en route le superviseur.
Le perfectionnement de soi et l'accession à sa légende personnelle passe obligatoirement par le partage de son savoir et de son expérience avec les profanes en demande d'initiation. (R. Bach)