17/07/2019, 09:25:59
Hello,
Je suis la conversation avec intérêt vu que je ne vais pas tarder à être dans le même cas.
J'ai également compris qu'en DALI, c'est le driver lui même qui dimmait, on ne dimme pas le driver.
Et que l'avantage de la basse tension, c'était de séparer la partie driver et la partie éclairage : si l'éclairage saute, on n'a pas à changer le driver avec (ou l'inverse : j'ai le cas hier d'une ampoule LED 230V dont le ballast intégré ne fonctionne plus bien, j'ai du tout jeter alors que la partie éclairage est encore bonne). Séparer driver et ampoule (et laisser le driver dimmer) ça permet d'éviter le clignotement dans les luminosité les plus basses, non ?
Pour les halogènes, il me semble qu'ils sont désormais interdit, comme les fluocompact (et si ce n'est pas le cas, ça ne va pas tarder). Donc maintenant, LED uniquement (ou reste-t-il encore autre chose autorisé ?)
Je suis la conversation avec intérêt vu que je ne vais pas tarder à être dans le même cas.
J'ai également compris qu'en DALI, c'est le driver lui même qui dimmait, on ne dimme pas le driver.
Et que l'avantage de la basse tension, c'était de séparer la partie driver et la partie éclairage : si l'éclairage saute, on n'a pas à changer le driver avec (ou l'inverse : j'ai le cas hier d'une ampoule LED 230V dont le ballast intégré ne fonctionne plus bien, j'ai du tout jeter alors que la partie éclairage est encore bonne). Séparer driver et ampoule (et laisser le driver dimmer) ça permet d'éviter le clignotement dans les luminosité les plus basses, non ?
Pour les halogènes, il me semble qu'ils sont désormais interdit, comme les fluocompact (et si ce n'est pas le cas, ça ne va pas tarder). Donc maintenant, LED uniquement (ou reste-t-il encore autre chose autorisé ?)
Totalement inutile, complètement indispensable.