09/08/2007, 15:15:37
On 9 août, 14:45, Steven <steven.debru...@konnex.org> wrote:
> Sur le plan légal, la modification du code de fabricant va être
> interpreté comme usage non-documentée, donc on-permis du produit. Ca
> veut dire qui - en cas de problème - le fabrican peut refuger chaque
> responsabilité!
Bon, c'est clair que si on tripote le BCU à ce niveau là et qu'il
tombe en panne, ce ne sera pas la peine d'aller pleurer chez le
fabricant pour la garantie ==> à ne tenter que sur du vieux
matériel ... pour l'instant.
> Faites quand-même attention aussi sur le plan technique: de plus en
> plus, d'autre processeurs sont utilisés que le HC05. Il se peut alors
> très bien que le code du fabricant est située autr-part que sur
> l'adresse 0x0104, m^eme si ETS va le lire a travers cette adresse.
> L'ecriture de 0x0104 peut donc pas fonctioner et même resulter dans un
> malfonction.
Avec un BCU1, je ne pense pas qu'il y ait de risque de trouver autre
chose que des 68HC05, mais pour les modèles plus récents je pense
qu'il serait en effet sage de faire un backup complet de la mémoire
avec un programmateur avec de tenter nos petites expériances ; ce qui
implique d'ouvrir le boitier, verifier le type de processeur, etc ...
Tiens, en passant, une info amusante :
Dans mes thermostats Theben RAM713 achetés il y a environ 18 mois, le
microcontroleur principal est un NEC D78F9177A, le même type que celui
trouvé dans les nouveau BCU/BIM13x, et vu le nombre de connexion
soudées, c'est clairement lui qui fait le travail, accompagné d'une
petite EEPROM i2c.
Mais devinez donc ce qui fait l'interface entre le NEC et le bus EIB ?
Et bien tout simplement un bon gros MC68HC05B6 - ZC441016CFN,
accompagné d'un transceiver FZE 1066.
Sur les 52 pattes du 68HC05, une dizaine seulement sont connectées,
bref, il n'est la que pour faire l'interface avec le bus.
Si ce n'est pas du gaspillage ça !
> Sur le plan légal, la modification du code de fabricant va être
> interpreté comme usage non-documentée, donc on-permis du produit. Ca
> veut dire qui - en cas de problème - le fabrican peut refuger chaque
> responsabilité!
Bon, c'est clair que si on tripote le BCU à ce niveau là et qu'il
tombe en panne, ce ne sera pas la peine d'aller pleurer chez le
fabricant pour la garantie ==> à ne tenter que sur du vieux
matériel ... pour l'instant.
> Faites quand-même attention aussi sur le plan technique: de plus en
> plus, d'autre processeurs sont utilisés que le HC05. Il se peut alors
> très bien que le code du fabricant est située autr-part que sur
> l'adresse 0x0104, m^eme si ETS va le lire a travers cette adresse.
> L'ecriture de 0x0104 peut donc pas fonctioner et même resulter dans un
> malfonction.
Avec un BCU1, je ne pense pas qu'il y ait de risque de trouver autre
chose que des 68HC05, mais pour les modèles plus récents je pense
qu'il serait en effet sage de faire un backup complet de la mémoire
avec un programmateur avec de tenter nos petites expériances ; ce qui
implique d'ouvrir le boitier, verifier le type de processeur, etc ...
Tiens, en passant, une info amusante :
Dans mes thermostats Theben RAM713 achetés il y a environ 18 mois, le
microcontroleur principal est un NEC D78F9177A, le même type que celui
trouvé dans les nouveau BCU/BIM13x, et vu le nombre de connexion
soudées, c'est clairement lui qui fait le travail, accompagné d'une
petite EEPROM i2c.
Mais devinez donc ce qui fait l'interface entre le NEC et le bus EIB ?
Et bien tout simplement un bon gros MC68HC05B6 - ZC441016CFN,
accompagné d'un transceiver FZE 1066.
Sur les 52 pattes du 68HC05, une dizaine seulement sont connectées,
bref, il n'est la que pour faire l'interface avec le bus.
Si ce n'est pas du gaspillage ça !