18/09/2008, 17:21:22
Le stack EIB d'un BCU est en quelque sort sont système d'exploitation.
Les "vieux" BCU1 et BCU2 en modules séparés (ceux avec le connecteur
2x5 pins), basés sur un microcontrolleur motorola sont très stables,
car leur stack EIB est en ROM, alors que le programme d'application
ainsi que les divers paramètres programmables sont sauvés en EEPROM.
Il est donc impossible "d'écraser" le stack EIB lors d'une mauvaise
programmation.
Idem pour les ancien BIM-11x que l'on trouve dans les anciens acteurs
et senseur sur rail DIN ou boitier pour "faux plafond".
Par contre, les nouveaux modules avec BCU intégré sont souvent basé
sur un microcontrolleur plus récent (plus puissant aussi ...) qui
sauvent tout en Flash, le stack EIB comme le reste des paramètres
modifiables ; donc une corruption du code du stack EIB est
théoriquement possible lors d'une programmation avortée, sachant que
le code de leur stack EIB est probablement moins bien débuggué que
celui - assez ancien - des BCU à coeur Motorola.
J'ai déjà constaté certains ratés de programmation et comportements
bizarres avec des modules tout-en-un (avec mémoire flash) comme les
Theben RAM713 ; de temps en temps il faut les programmer deux ou trois
fois de suite.
J'ai aussi un Theben HMG8 capricieux : quand je change quoi que ce
soit (adresse de groupe ou paramètre) il faut obligatoirement lancer
une programmation complète, incluant le programme d'application, sinon
le module se plante complètement et même un reboot n'arrange rien, il
faut le vider et refaire toute la config.
Mais une fois bien programmé, tout ce petit monde fonctionne
nickel ...
Et tout cela c'est sans parler des modules avec procédure spéciale de
programmation et plug-in dans ETS (Gira smart-sensor, LCD menu-
displays et autres MT-701 par exemple ...)
Ni l'électronique ni l'informatique ne sont des sciences
exactes ... ;-)
Les "vieux" BCU1 et BCU2 en modules séparés (ceux avec le connecteur
2x5 pins), basés sur un microcontrolleur motorola sont très stables,
car leur stack EIB est en ROM, alors que le programme d'application
ainsi que les divers paramètres programmables sont sauvés en EEPROM.
Il est donc impossible "d'écraser" le stack EIB lors d'une mauvaise
programmation.
Idem pour les ancien BIM-11x que l'on trouve dans les anciens acteurs
et senseur sur rail DIN ou boitier pour "faux plafond".
Par contre, les nouveaux modules avec BCU intégré sont souvent basé
sur un microcontrolleur plus récent (plus puissant aussi ...) qui
sauvent tout en Flash, le stack EIB comme le reste des paramètres
modifiables ; donc une corruption du code du stack EIB est
théoriquement possible lors d'une programmation avortée, sachant que
le code de leur stack EIB est probablement moins bien débuggué que
celui - assez ancien - des BCU à coeur Motorola.
J'ai déjà constaté certains ratés de programmation et comportements
bizarres avec des modules tout-en-un (avec mémoire flash) comme les
Theben RAM713 ; de temps en temps il faut les programmer deux ou trois
fois de suite.
J'ai aussi un Theben HMG8 capricieux : quand je change quoi que ce
soit (adresse de groupe ou paramètre) il faut obligatoirement lancer
une programmation complète, incluant le programme d'application, sinon
le module se plante complètement et même un reboot n'arrange rien, il
faut le vider et refaire toute la config.
Mais une fois bien programmé, tout ce petit monde fonctionne
nickel ...
Et tout cela c'est sans parler des modules avec procédure spéciale de
programmation et plug-in dans ETS (Gira smart-sensor, LCD menu-
displays et autres MT-701 par exemple ...)
Ni l'électronique ni l'informatique ne sont des sciences
exactes ... ;-)