(23/03/2025, 15:52:43)julien87000 a écrit : Ce n'est pas risqué? si l'alim claque tout le module est mort, alors qu'une alim séparé tu changes l'alim et c'est reparti comme si de rien n'était.
J'envisage de passer sur un MAXinBOX24 pour l'ensemble voir deux, car j'ai d'autres idée sympa à lui proposer.
Son projet n'est pas très clair dans sa tête, par exemple dans la pièce de vie, il veut tout piloter depuis trois écrans : un écran dans le couloir, un au niveau de la porte d'entrée et un dernier coté terrasse arrière, rien d'autre. Dans les chambres, allumage classique, alors qu'il y a un pilotage du volet roulant en KNX.
Son argument "pour la chambre des enfants je ne veux rien de compliqué" dans mes recherches j'ai vu que l'on peut mettre un bouton KNX avec pictogramme pour les fonctions de chaque touche ça évitera le mélange entre le bouton classique et KNX.
D'après moi ça complique le fonctionnement de toute la maison. Il faut un écran dans le couloir pour piloter toutes la maison en lumière volet etc. Je remplace les deux écrans par des boutons. C'est plus simple d'appuyer sur un bouton pour tout éteindre et activer l'alarme depuis une seule touche, par exemple.
Le deuxième argument c'est le prix, il faut que je me renseigne du prix. A mon avis, si on fait ça, dans l'avenir il va regretter son choix et ça sera beaucoup plus couteux.
Il m'a tout juste donner le plan sans beaucoup de précision "c'est toi l'électricien fais une étude".
En tout cas, grâce à vous je vais lui faire un dossier complet : prix, avantage et inconvénient de mélanger l'électricité classique avec le KNX.
Tu n'as toujours pas répondu à la question : Tu lui feras une facture de ton entreprise ou tu l'aide de façon amicale ?
- Les modules tout en un me servent pour le dépannage entre autre, mais aussi de bloc IP et de simple tout ou rien facile à intégrer, cela me donne une alim de secours avec alim secondaire au cas de où. Mais si l'alim crame le reste peut fonctionner.
- Dans un projet domotique, il faut vraiment faire table rase de l’électricité classique, il faut penser fonction, fonctionnement, ergonomie donc c'est à toi de posé les questions d'utilisation et les remarque que le client t'a fait : "Son projet n'est pas très clair dans sa tête" ou "c'est toi l'électricien fais une étude" montre qu'il faut approfondir le questionnement sur le pourquoi il pense cela, n’oublie pas c'est toi le professionnel qui est connais le système, lui il ne voit que le résultat. Il faut qu'il précise sa pensé comme cette histoire de chambre des enfants; Autre exemple, question à lui poser: Pourquoi Mitsubishi pour sa PAC et pourquoi le modèle qu'il a choisi ? Cela te permet voir la faisabilité d'intégration de la PAC dans l'écosystème KNX, voir changer de PAC si une autre répond mieux au desiderata du client. C'est beaucoup de travail en amont.
Autre exemple : La chambre des enfants, soit actuellement c'est des "mino" mais ils vont grandir, les fonctions d'un bouton peuvent évoluer mais la création d'un bouton (ligne + bouton) c'est beaucoup plus compliqué (je sais il y a du sans fil).
- Pour les écrans, un grand écran est suffisant (pour la supervision), après si il en veux d'autre il peuvent être plus petit voir des bouton tactiles : Exemple un Z40 ou Z50 à l'entrée pour armement de l'alarme, l'extinction des lumières le mode vacance, le visiophone, etc... et le Z100 dans le salon pour le management de la maison (PAC, forçage chauffe Eau, coupure internet dans la chambre des ado, etc....). Le nombre d'écran ne complexifie pas l’installation, justement c'est l'une des forces du KNX.
-Maintenant le sujet du prix est une question délicate, mais si cette question a été évoqué rapidement dans la discussion cela va être compliqué, il faut que tu puisse argumenter au pourquoi un interrupteur KNX coûte 100 € alors que c'est une GSB un VV coûte 7€ avec l'enjoliveur inclus.
Par contre, je rejoins Yves, le mi- tra mi-KNX, c'est comme être au milieu d'un gué, tu as l'inconfort d'être mouillé sans pour autant savoir quelle berge est la plus sèche. Si tu fait cela tu auras les contraintes des deux mondes. Donc à proscrire.