05/08/2008, 23:29:02
Bonjour,
> Malheureusement, sur la connexion EIB, on ne récupère pas grand chose
> comme info, en gros on peut juste lire le nombre de watts ; perso, je
> voulais aussi mesurer (et enregistrer) les voltages, mais "tintin" !
> ce n'est pas possible.
Je ne comprends pas bien l'intérêt de mesurer la tension du réseau???
> Pour les compteurs mécaniques (eau, gaz et anciens électricité), il
> est peut-être possible d'utiliser une petite astuce : souvent une des
> pièces mobiles du compteur (l'aiguille ou une zone survolée par celle-
> ci, une petite roulette avec les chiffres, une zone de la roue dentée,
> etc ...) comporte une zone miroitée, visible depuis l'extérieur du
> compteur. Il existe des petits capteurs tout simples (une led + une
> photodiode, bien souvent) à coller sur le compteur au bon endroit
> (devant le lieu de passage de la zone miroitée) ; chaque passage du
> petit miroir devant le capteur va générer une impulsion.
> Il suffit de relier ce petit capteur sur une entrée binaire possédant
> une application de type "compteur d'impulsions" pour mesurer les
> quantités de gaz ou d'eau consommées ; il faudra juste ajouter un
> module logique (ou une petite usine à gaz) pour calculer le débit
> instantané.
J'ai également utilisé cette astuce au départ, et elle n'est pas aussi
simple qu'elel en à l'air.
Premièrement, je ne conanis pas de capteur optique qui puisse être
relié directement à une entrée binaire. Sur celui que j'utilisais, la
variation de tension entre la surface réfléchissante et le reste était
à peine de quelques dizaines de millivolts. Pourtant le capteur était
scotché à la vitre du compteur à 3mm des chiffres. Il faut donc au
minimum un ampli-op derrière pour transformer cette petite variation
de tension en signal binaire. Avec ça, ca fonctionnait raisonnablement
bien, mais là où ça se corce, c'es quand la roulette en question
s'arrête juste à la limite entre la zone argentée et le reste. On se
trouve alors sur la limite où la différence entre 0 et 1 se joue et
les perturbations électromagnétiques (50hz) dans lesquelles on baigne
tous se chargent de créer des impulsions qui faussent le comptage.
Enfin ça c'est juste mon expérience personnelle. Ensuite je me suis
rendu compte en lisant les forums allemands, qu'en ajoutant simplement
un contact magnétique à mon competur de gaz je pouvais faire parail
sans aucune erreur de comptage.
A+
Jean-François
> Malheureusement, sur la connexion EIB, on ne récupère pas grand chose
> comme info, en gros on peut juste lire le nombre de watts ; perso, je
> voulais aussi mesurer (et enregistrer) les voltages, mais "tintin" !
> ce n'est pas possible.
Je ne comprends pas bien l'intérêt de mesurer la tension du réseau???
> Pour les compteurs mécaniques (eau, gaz et anciens électricité), il
> est peut-être possible d'utiliser une petite astuce : souvent une des
> pièces mobiles du compteur (l'aiguille ou une zone survolée par celle-
> ci, une petite roulette avec les chiffres, une zone de la roue dentée,
> etc ...) comporte une zone miroitée, visible depuis l'extérieur du
> compteur. Il existe des petits capteurs tout simples (une led + une
> photodiode, bien souvent) à coller sur le compteur au bon endroit
> (devant le lieu de passage de la zone miroitée) ; chaque passage du
> petit miroir devant le capteur va générer une impulsion.
> Il suffit de relier ce petit capteur sur une entrée binaire possédant
> une application de type "compteur d'impulsions" pour mesurer les
> quantités de gaz ou d'eau consommées ; il faudra juste ajouter un
> module logique (ou une petite usine à gaz) pour calculer le débit
> instantané.
J'ai également utilisé cette astuce au départ, et elle n'est pas aussi
simple qu'elel en à l'air.
Premièrement, je ne conanis pas de capteur optique qui puisse être
relié directement à une entrée binaire. Sur celui que j'utilisais, la
variation de tension entre la surface réfléchissante et le reste était
à peine de quelques dizaines de millivolts. Pourtant le capteur était
scotché à la vitre du compteur à 3mm des chiffres. Il faut donc au
minimum un ampli-op derrière pour transformer cette petite variation
de tension en signal binaire. Avec ça, ca fonctionnait raisonnablement
bien, mais là où ça se corce, c'es quand la roulette en question
s'arrête juste à la limite entre la zone argentée et le reste. On se
trouve alors sur la limite où la différence entre 0 et 1 se joue et
les perturbations électromagnétiques (50hz) dans lesquelles on baigne
tous se chargent de créer des impulsions qui faussent le comptage.
Enfin ça c'est juste mon expérience personnelle. Ensuite je me suis
rendu compte en lisant les forums allemands, qu'en ajoutant simplement
un contact magnétique à mon competur de gaz je pouvais faire parail
sans aucune erreur de comptage.
A+
Jean-François