13/09/2010, 17:06:51
>
> Mmmmm, bien d'accord avec toi.
> Je suis également partisan de la méthode orthodoxe, mais ce n'est pas
> ce qu'il a dit, Dfrog.
> Attendons son commentaire...
Son commentaire, le voici ;-)
Premièrement, il n'y a pas d'obligation de séparer les zones, comme il
n'y a pas d'interdiction de le faire, chacun utilisera la méthode qui
lui convient. La seule règle étant de ne pas placer 2 adresses
physiques identiques sur le même réseau... (en principe on ne peut
pas, mais bon...) Il n'est pas plus nécessaire d'ajouter des coupleurs
de ligne sinon pour augmenter la puissance (2 alim) ou séparer
galvaniquement des zones pour des raisons de sécurité physique, comme
déjà discuté ici. Mais tout ceci n'influence pas la numérotation
physique.
Par contre... par contre, je lis plus haut que
"c'est qu'en fait les adresse PHYSIQUES ne servent pas à grand chose
lors du fonctionnement de ton
installation. "
C'est FAUX, FAUX, et FAUX !!!!!
L'adressage physique est essentiel pour le fonctionnement de
l'installation. Elle fait partie intégrante du message EIB transmis
(byte 2 et 3 si je ne m'abuse). Sans cette info, comment l'émetteur
pourra contrôler si le message est bien arrivé ? Je rappelle ici que
le protocole EIB est basé sur le "colision detect" (base du protocole
Ethernet), et que par conséquent, chaque message doit avoir un retour
de confirmation pour que l'émetteur arrête d'émettre si l'info est
bien passée.
Par conséquent et étant obligatoires, autant que les adresses
physiques correspondent à qqe chose de concret.
Dans la pratique, il est plus facile de s'y retrouver dans une
topologie "simple" où lieux géographiques coïncident avec la
numérotation dans ETS, que d'implémenter des "zones" virtuelles, ne se
trouvant que dans ETS.
Je récupère régulièrement (et de plus en plus) de vielles
installations EIB, faites il y a 10 ans ou plus, et conçue "à la dure"
selon la méthode du classeur de court EIB. Eh bien je peux vous dire
que le client est tout à fait "satisfait" de me voir perdre plusieurs
heures à faire le lien entre éléments réels (les interrupteurs) et
éléments virtuels (les fonctions), pour simplement pouvoir dépanner ou
modifier /ajouter des fonctions. Si donc il est choisi une méthode
comme décrite plus haut, par pitié DOCUMENTEZ au max votre
installation avec des références compréhensibles entre ETS et les
plans.
Pour conclure : ne vous mettez pas de limites si ETS ne vous en impose
pas et faites selon votre appréciation du projet et selon vos
objectifs, mais toujours avec une grande discipline de documentation.
> Mmmmm, bien d'accord avec toi.
> Je suis également partisan de la méthode orthodoxe, mais ce n'est pas
> ce qu'il a dit, Dfrog.
> Attendons son commentaire...
Son commentaire, le voici ;-)
Premièrement, il n'y a pas d'obligation de séparer les zones, comme il
n'y a pas d'interdiction de le faire, chacun utilisera la méthode qui
lui convient. La seule règle étant de ne pas placer 2 adresses
physiques identiques sur le même réseau... (en principe on ne peut
pas, mais bon...) Il n'est pas plus nécessaire d'ajouter des coupleurs
de ligne sinon pour augmenter la puissance (2 alim) ou séparer
galvaniquement des zones pour des raisons de sécurité physique, comme
déjà discuté ici. Mais tout ceci n'influence pas la numérotation
physique.
Par contre... par contre, je lis plus haut que
"c'est qu'en fait les adresse PHYSIQUES ne servent pas à grand chose
lors du fonctionnement de ton
installation. "
C'est FAUX, FAUX, et FAUX !!!!!
L'adressage physique est essentiel pour le fonctionnement de
l'installation. Elle fait partie intégrante du message EIB transmis
(byte 2 et 3 si je ne m'abuse). Sans cette info, comment l'émetteur
pourra contrôler si le message est bien arrivé ? Je rappelle ici que
le protocole EIB est basé sur le "colision detect" (base du protocole
Ethernet), et que par conséquent, chaque message doit avoir un retour
de confirmation pour que l'émetteur arrête d'émettre si l'info est
bien passée.
Par conséquent et étant obligatoires, autant que les adresses
physiques correspondent à qqe chose de concret.
Dans la pratique, il est plus facile de s'y retrouver dans une
topologie "simple" où lieux géographiques coïncident avec la
numérotation dans ETS, que d'implémenter des "zones" virtuelles, ne se
trouvant que dans ETS.
Je récupère régulièrement (et de plus en plus) de vielles
installations EIB, faites il y a 10 ans ou plus, et conçue "à la dure"
selon la méthode du classeur de court EIB. Eh bien je peux vous dire
que le client est tout à fait "satisfait" de me voir perdre plusieurs
heures à faire le lien entre éléments réels (les interrupteurs) et
éléments virtuels (les fonctions), pour simplement pouvoir dépanner ou
modifier /ajouter des fonctions. Si donc il est choisi une méthode
comme décrite plus haut, par pitié DOCUMENTEZ au max votre
installation avec des références compréhensibles entre ETS et les
plans.
Pour conclure : ne vous mettez pas de limites si ETS ne vous en impose
pas et faites selon votre appréciation du projet et selon vos
objectifs, mais toujours avec une grande discipline de documentation.