16/08/2009, 22:50:38
> Comme vous l'avez compris, je ne parle malheureusement pas la langue
> de Goethe... et je suis très troublé par le "1-fach = 2 boutons"...
Une manière de comprendre est de voir le bouton comme un organe qui va
commander tout, pas seulement du ON/OFF de lumiere. L'interrupteur
pour store "standard" a deux boutons: un pour monter, un pour
descendre. C'est également une option relativement ergonomique pour un
variateur: plus fort et moins fort.
Il y a également le cas de la scène: "tout éteindre" est un exemple,
mais on peut en imaginer d'autres: "manger" qui allume la lumiere sur
la table, varie ce spot a 50%, baisse les stores, etc etc. La commande
d'une scène est impulsionnelle: on "appelle" la scène d'un appui sur
le bouton. Si on appuie de nouveau, on n'"éteint" pas la scène, on la
rappelle.
Le "bouton" KNX (fach, ou gang) est fait pour pouvoir implémenter
toutes ces sortes de boutons physiques.
Alors bien entendu avec des appuis plus ou moins longs sur un "demi"
bouton (au sens KNX) tu peux t'en sortir, mais c'est pas top facile
pour un store par exemple.
Il faut également penser à l'avenir car un des avantages de KNX c'est
sa flexibilité dans le temps, surtout par exemple dans une chambre
d'enfant qui grandit. J'ai tout planifié au début avec 1-fach == 1
bouton, en me disant que si par la suite j'avais besoin, je pouvais
toujours "gagner un bouton" en le divisant en deux (ce qui est
arrivé).
Fred
> de Goethe... et je suis très troublé par le "1-fach = 2 boutons"...
Une manière de comprendre est de voir le bouton comme un organe qui va
commander tout, pas seulement du ON/OFF de lumiere. L'interrupteur
pour store "standard" a deux boutons: un pour monter, un pour
descendre. C'est également une option relativement ergonomique pour un
variateur: plus fort et moins fort.
Il y a également le cas de la scène: "tout éteindre" est un exemple,
mais on peut en imaginer d'autres: "manger" qui allume la lumiere sur
la table, varie ce spot a 50%, baisse les stores, etc etc. La commande
d'une scène est impulsionnelle: on "appelle" la scène d'un appui sur
le bouton. Si on appuie de nouveau, on n'"éteint" pas la scène, on la
rappelle.
Le "bouton" KNX (fach, ou gang) est fait pour pouvoir implémenter
toutes ces sortes de boutons physiques.
Alors bien entendu avec des appuis plus ou moins longs sur un "demi"
bouton (au sens KNX) tu peux t'en sortir, mais c'est pas top facile
pour un store par exemple.
Il faut également penser à l'avenir car un des avantages de KNX c'est
sa flexibilité dans le temps, surtout par exemple dans une chambre
d'enfant qui grandit. J'ai tout planifié au début avec 1-fach == 1
bouton, en me disant que si par la suite j'avais besoin, je pouvais
toujours "gagner un bouton" en le divisant en deux (ce qui est
arrivé).
Fred