07/02/2021, 23:39:54
Bonsoir tout le monde,
Merci, je vais suivre ces sages paroles. Je vais uniquement me servir des données en sortie de pompe et faire les alertes logiques. Ça reste une validation indépendante du bon fonctionnement des EV, je trouve que c'est un excellent compromis !
Salut Pollux, merci pour ce retour d'expérience.
Le fait de pouvoir plus simplement régler une quantité d'eau en fonction des surfaces et de l'hygrométrie et gérer de petites zones indépendantes (pouvant changer dans une saison), voire même gérer des situation plus critiques dans certains cas exceptionnels me motive. Je trouve que la gestion en KNX est beaucoup plus souple sur les paramètres et l'agrégation de plusieurs donnée bien utiles (prévisions météo, hygrométrie, pluviométrie, retour d'infos...) plus qu'un temporisateur disons. Alors certes, je fantasme peut-être un peu trop sur la richesse des algorithmes qui vont gérer l'irrigation mais quitte à gérer plusieurs pompes et réserves en optimisant les usages en KNX, autant y ajouter l'irrigation en elle-même...
Par contre, je suis curieux...
Bonne semaine à vous tous !
(06/02/2021, 00:54:13)Octhib a écrit : Bonsoir,
Il est pratiquement impossible de gérer tout les cas de panne :
- Panne de l'alimentation 24v
- Anomalie sur la pompe (ou réduction de la puissance de celle ci suite à une anomalie)
- Gouttes à goutte percée ou goutteur qui saute sous la pression (je ne te parle pas des chiens qui tirent sur les tuyaux pour jouer ou boire),
- Panne du solenoide (la pastique qui est alimenté en 24v et qui ouvre ou ferme l'electrovanne.
- Fils qui prend l'eau (le connecteur étanche n'est plus étanche) et mets en defaut l'alimentation 24volt
- déreglement des tetes des arrosseurs
- etc....
Bref, le plus simple pour moi est :
1) d'observer ce qui se passe dans ton jardin. Perso, j'habite en Provence et même en été, par 40°, si il y a une panne, tu t'en aperçois assez vite et avant que cela soit catastrophique (les goutteurs qui fuit au bruit, celui qui ne marche pas en faisant une inspection en début de saison, en testant les arrosseurs deux ou trois fois par an (car souvent ils marchent la nuit)), etc...)
2) en mettant un compteur au départ avec une alerte par logique si n'a pas évolué ou pas suffisamment.
3) avoir une alim 24v de rechange (ce n'est pas le prix que cela coute et une panne arrivera toujours au mauvais moment)
4) et enfin encore en observant comment ton jardin évolue.
Le plus dur dans l'arrosage est plus de gérer les temps d'arrosage en fonction des conditions (pour ne pas trop arroser ou pas assez) et ca, cela peut faire plus de dégat.
Merci, je vais suivre ces sages paroles. Je vais uniquement me servir des données en sortie de pompe et faire les alertes logiques. Ça reste une validation indépendante du bon fonctionnement des EV, je trouve que c'est un excellent compromis !
(06/02/2021, 14:42:00)pollux06 a écrit : Comme te le dis Octhib, le plus dur est d'arriver à la bonne dose d'arrosage : trop ça pourri sur pied et pas assez ça crève.
Perso j'ai automatisé énormément de choses dans ma maison à tel point qu'elle est pratiquement devenue une maison témoin pour la démonstration des produits d'un importateur Français de marques allemandes ...... mais pour l'arrosage j'ai laissé cette gestion à une bonne centrale d'arrosage Rainbird qui fait parfaitement le taf sur une douzaine d'électrovannes et ce pour le prix d'un simple actionneur 6 voies.
Un tour toutes les semaines au fond du jardin pour vérifier l'absence d'anomalies et je n'ai rien d'autre à faire si ce n'est couper en automne, remettre en route début mai et ensuite ajuster une fois par semaine le % d'arrosage global jusqu'à fin juin. Au total la gestion proprement dites de l'arrosage me prend au max 2h par an. L'entretien de l'hydraulique (buses, asperseurs, goutte à goutte, .....) en échange me prend beaucoup plus de temps mais ce sera exactement la même chose avec un système KNX.
En échange j'ai mis l'accent sur la gestion du surpresseur et du ballon tampon qui eux sont monitorés en KNX.
Si j'ai opté pour une solution simple et éprouvée, c'est aussi que tout simplement je n'avais pas de possibilité de mesurer les quantités d'eau de pluie via le KNX. La centrale elle avait son propre détecteur (option à 25€) et savait parfaitement gérer le temps d'arrosage nécessaire en fonction de l'éventuelle quantité de pluie...... quand à mettre sur le bus KNX, un pyranomètre plus des capteurs d'humidité du sol sur 10.000m² .... ce n'était pas concevable au niveau du coût.
Salut Pollux, merci pour ce retour d'expérience.
Le fait de pouvoir plus simplement régler une quantité d'eau en fonction des surfaces et de l'hygrométrie et gérer de petites zones indépendantes (pouvant changer dans une saison), voire même gérer des situation plus critiques dans certains cas exceptionnels me motive. Je trouve que la gestion en KNX est beaucoup plus souple sur les paramètres et l'agrégation de plusieurs donnée bien utiles (prévisions météo, hygrométrie, pluviométrie, retour d'infos...) plus qu'un temporisateur disons. Alors certes, je fantasme peut-être un peu trop sur la richesse des algorithmes qui vont gérer l'irrigation mais quitte à gérer plusieurs pompes et réserves en optimisant les usages en KNX, autant y ajouter l'irrigation en elle-même...
Par contre, je suis curieux...
- Pour gérer cette finesse du trop ou pas assez, tu utilises exclusivement des hygromètres ? Comment te décides-tu à incrémenter les temps d'arrosage et fonction de quel(s) paramètres ?
- Quel est le rôle de la gestion en KNX du tampon et surpresseur et quel influence cela e t-il sur l'irrigation, et par quels moyens du coup ?
Bonne semaine à vous tous !